Blattes, cafards ou cancrelats : l’enfer chez soi

Souvent synonymes d’insalubrité ou de misère, l’hygiène n’est pourtant pas souvent la principale cause de leurs apparitions. En revanche, il provoque tous un sentiment de dégoût et de honte, affectant notre psychique par la rapidité de leur prolifération.

La blatte, le cafard ou le cancrelat sont en réalité une désignation pour une seule et même espèce. Ils existent depuis des millions d’années et il existe quelques miliers d’espèces différentes. En France, la plus courante demeure la blatte germanique, même si vous pouvez aussi rencontrer ses cousines : l’américaine ou l’africaine.

La blatte ne représente pas un danger immédiat pour l’homme. Toutefois, elle peut véhiculer des bactéries responsables d’infection respiratoire, allergique ou cutanée. Sans compter que sa présence a un impact assez conséquent sur notre moral, générant beaucoup de stress et d’angoisse. En effet, les blattes rentrent dans notre intimité. Elles s’immiscent là où vous êtes censés lâcher prise, prendre du temps pour vous. Et même une fois définitivement éradiquée, on vit avec cette appréhension qu’elle peut revenir.

Lorsque vous constatez la présence de blattes, il est souvent trop tard. Une blatte pond généralement entre 3 et 6 oothèques, chacune d’elles pouvant contenir jusqu’à cinquante oeufs. L’oothèque étant indépendant de l’insecte, si vous tuez une femelle, les oeufs vont tout de même éclore. Les blattes affectionnent les endroits humides. Elles se cachent dans les recoins, sortant pour s’alimenter ou s’abreuver, rendant bien vite le quotidien impossible.

Il faut d’abord se déculpabiliser. Comme préciser plus haut, l’apparition des blattes n’est pas seulement une question d’hygiène. Insecte nécrophage, les blattes mangent leur congénèrent morts, rendant leur éradiquation par vos propres moyens se révèlent bien souvent très compliqués, voire impossible. Néanmoins des solutions concrètes existent. Sachez que je vous garantis un retour à votre tranquilité, le plus rapidement possible.

à lire également